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Conf. de presse : le bilan

Le 13 mai 2004 à onze heures, l'association Estelle a tenu une conférence de presse dans les salons de la Mairie du 11ème arrondissement de Paris. Après 15 mois d'existence et forte aujourd'hui de près de 500 adhérents, son objectif était de faire le point sur son activité, de présenter ses projets pour les mois à venir et d'annoncer l'action prévue le 25 mai prochain, dans le cadre de la journée des enfants disparus. Au cours de cet échange d'une heure avec une trentaine de journalistes, Eric Mouzin, père d'Estelle, et Bruno Bongapenka, Président de l'association ont dans un premier temps rappelé qu'aucun élément nouveau ne laissait entrevoir une avancée significative de l'enquête sur la disparition d'Estelle. Ils ont ensuite constaté et regretté, malgré l'expérience acquise par les services de police et de gendarmerie dans le cadre des disparitions passées -et particulièrement celle d'Estelle - la persistance des mêmes lacunes et des mêmes vides : lors de la disparition de Jonathan COULOM, survenue à Saint-Brévin les Pins au début du mois d'avril dernier, l'hypothèse privilégiée dès les premiers instants - et durant 6 longs jours - a été une fois encore celle de la fugue, comme dans le cas d'Estelle, dans des circonstances et un contexte pourtant contradictoires (un enfant de 10 ans disparaissant en pleine nuit, en pyjama et de surcroît sans chaussure...) !

D'autres points de préoccupation, axes de travail et pistes de réflexion de l'association ont ensuite été présentés :

  • l'absence, en France, d'une structure spécialisée et professionnelle du type ONG, dotée d'un numéro d'appel gratuit (si possible à trois chiffres)- à l'image de celles qui existent dans un nombre croissant de pays tels que les Etats Unis (National Center for Missing and Exploited Children), le Royaume Uni (Missing Children Web Site), la Belgique (Child Focus), l'Espagne (Spain - Missing Children Web Site) - dédiée à la prise en charge des cas de disparitions inquiétantes, fugues et enlèvements parentaux. Cette structure au financement mixte, dont la mission ferait l'objet d'une convention avec les pouvoirs publics, pourrait mobiliser dès les premiers instants toute la chaîne d'information (actions média, élaboration et diffusion des avis de recherche). Elle jouerait un rôle de coordination dans les actions de prévention menées par les diverses associations existantes. Elle aurait une fonction essentielle de pivot relationnel et organisationnel dans l'espace d'interaction entre la famille, la police et la justice. L'association a écrit au Ministre de l'Intérieur et déposé un document d'avant-projet dans ce sens, en juillet 2003. Ce projet n'a pas, à l'époque, été jugé pertinent. Aujourd'hui semble se dessiner un projet de structure qui ne répondrait que très partiellement à ces préoccupations, puisqu'il serait conçu pour assurer essentiellement la prise en charge des fugues de mineurs.
  • l'absence d'une prise en compte réelle et d'une écoute objective de la parole de l'enfant par les services de police, la justice, l'entourage proche - y compris familial - soupçonné trop fréquemment d'affabulation lorsqu'il se pleint de sévices sexuels, de violences avérées ou de tentatives de la part d'un adulte (voir les conclusions du rapport de l'ONU du 14 octobre 2003).
  • l'absence de statistiques précises et à jour sur les disparitions d'enfants en France, qui traduit le vide et les lacunes qui existent actuellement au niveau des institutions, ainsi que le manque de coordination des tous les acteurs en présence (justice, police, associations et organismes d'action sanitaire, sociale et médicale).

Il a enfin été précisé que l'association n'avait ni la vocation, ni les moyens, ni la volonté d'agir comme un organe d'investigation et d'enquête à côté des services de l'état (police, justice). Les informations qui lui sont communiquées par mail ou par courrier dans le cadre de l'enquête sont transmises aux services compétents qui ont la charge de les vérifier et de les exploiter, le cas échéant.

L'action du 25 mai

L'action du 25 mai, organisée dans le cadre de la journée internationale des enfants disparus, revêt cette année une forme qui permettra à chacun de participer, là où il se trouve. Elle doit mobiliser le plus grand nombre, sur l'ensemble du territoire national, pour donner toute son ampleur au message de soutien et d'espoir à l'attention des enfants disparus et à leur famille. Elle doit être l'occasion de dire non, avec force, détermination et dignité, à ces actes de barbarie. D'autres associationsseront présentes et appellent à participer à cette action de solidarité.

Allumer une bougie, signal de lumière, c'est un acte simple, à la portée des tous : sur un rebord de fenêtre, dans un jardin, devant une maison, dans le cadre d'un rassemblement organisé dans un quartier, une place de village, de Mairie ou une esplanade comme au Champ de Mars à Paris. La force du message sera décisive dans la prise de conscience, par la collectivité nationale et les pouvoirs publics, de l'urgence à agir bien plus efficacement dans la prévention, la réduction du nombre et le traitement de ces drames quand ils se produisent. Elle sera déterminante pour faire avancer le projet de

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